mercredi 22 avril 2020

Léonard et la machine infernale, de Robert J. Harris.





Le jeune Léonard, alors âgé de 14 ans, est apprenti du peintre florentin Andrea del Verrocchio. Il veut devenir un grand artiste, mais son maître ne lui donne que des tâches sans importance à réaliser. Un jour, pendant une de ses missions, il découvre les plans d'une machine mystérieuse aux biens sombres desseins. Léonard décide de mener l'enquête, aidé de son ami Sandro et de la jeune esclave Fresina.


C'est un petit roman jeunesse destinés aux collégiens. J'ai passé un agréable moment avec, car le rythme est bon et l'action présente. J'ai bien apprécié le personnage de Léonard de Vinci ainsi que son ami Sandro Botticelli. J'ai par contre eu plus de réserves avec Fresina. Elle n'est pas aussi développée, et seuls ses origines et son côté gourmand/voleur (pour voler de la nourriture) sont mentionnés.

La plume est très accessible, et pourtant instructive: l'auteur s'est appuyé sur quelques vrais événements, et la majorité des personnages dans ce roman ont réellement existé. L'auteur y développe un aspect historique intéressant, avec la Florence de 1466, mais aussi les procédés de la peinture, comme la préparation de la toile à base d'arêtes de poissons.

Alors oui, certaines péripéties trouvent une résolution trop rapidement, mais ce n'est pas vraiment dérangeant. Dus suspense, de l’enquête, de l'action, j'avoue avoir eu du mal à lâcher le livre.






Les graines de pensées:

Enregistrer un commentaire